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Histoires de réussite des diplômés

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Lisa

Passeport Vancouver

Pour de nombreux élèves du secondaire, l’année de l’obtention du diplôme est une période éprouvante qui requiert un équilibre entre l’école, le travail, les examens et les demandes d’admission au postsecondaire. Mais pour la cohorte 2020, dont Lisa fait partie, ces contraintes ont été amplifiées par l’émergence de la pandémie de COVID-19.

Pour Lisa, l’incidence de la pandémie s’est fait sentir tant à la maison qu’à l’école. Ses deux parents ont perdu leur emploi et, avec une telle accumulation de responsabilités, l’avenir est devenu une grande source d’inquiétude pour elle. Cela n’a pas été sans conséquence pour la santé mentale de Lisa. « J’en étais à un point où le conseiller de mon école me talonnait pour que je parle de ma santé mentale, explique Lisa. Mais j’avais toujours l’impression de ne pas avoir le temps de m’en occuper, coincée entre les examens et les gros projets scolaires. »

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En pleine crise mondiale, Lisa, comme de nombreux autres élèves, a dû être particulièrement persévérante. Elle y est parvenue, notamment, grâce à sa mentore Passeport. Au secondaire, Lisa était trop occupée pour pouvoir réfléchir à son futur professionnel. Sa mentore a donc pris l’initiative d’organiser des rencontres avec des professionnels et l’a dirigée vers des ateliers sur les bourses d’études. C’est ainsi que Lisa a découvert qu’en cas de situation difficile, une bonne stratégie consiste à demander aux autres de prêter main forte. « Ma mentore Passeport m’a beaucoup aidée, se remémore Lisa. Lorsqu’elle m’a invitée à ces événements, j’ai vraiment pu établir des liens avec d’autres personnes. Je n’aurais pas été capable de faire ça toute seule avec tout le stress de l’école. »

À mesure que sa relation avec sa mentore Passeport se développait, Lisa a pu trouver de nouvelles manières de demander de l’aide et de parler de sa santé mentale. Ces conversations étaient d’abord compliquées. Mais une fois confortablement installée dans une relation individuelle et sûre avec sa mentore, Lisa a pu faire part de ses expériences et de nouvelles perspectives se sont ouvertes à elle. Lisa s’est sentie renforcée en pouvant compter sur une partenaire de confiance pour l’aider à traverser une période difficile. « J’ai fait plus attention à ma santé mentale. Je me suis efforcée de trouver un équilibre entre l’école et la vie privée, explique Lisa. C’est clairement un aspect sur lequel ma mentore a insisté. »

L’avenir semble encore incertain pour beaucoup, mais Lisa et ses camarades de classe ont une réalisation exceptionnelle à leur actif : ils ont obtenu leur diplôme d’études secondaires pendant une pandémie mondiale. Elle n’est pas prête d’oublier cette expérience qui, comme pour beaucoup d’élèves de sa promotion, a exigé un changement de perspective et une prise en charge de soi. « Quand je repense à ma 10e ou 11e année, je n’aurais jamais imaginé que les choses ressembleraient à ce qu’elles sont aujourd’hui. Ce que j’ai appris, c’est qu’il est vraiment important de continuer à trouver de nouvelles façons d’aborder les défis et de surmonter les obstacles. »

Pour de nombreux élèves du secondaire, l’année de l’obtention du diplôme est une période éprouvante qui requiert un équilibre entre l’école, le travail, les examens et les demandes d’admission au postsecondaire. Mais pour la cohorte 2020, dont Lisa fait partie, ces contraintes ont été amplifiées par l’émergence de la pandémie de COVID-19.

Pour Lisa, l’incidence de la pandémie s’est fait sentir tant à la maison qu’à l’école. Ses deux parents ont perdu leur emploi et, avec une telle accumulation de responsabilités, l’avenir est devenu une grande source d’inquiétude pour elle. Cela n’a pas été sans conséquence pour la santé mentale de Lisa. « J’en étais à un point où le conseiller de mon école me talonnait pour que je parle de ma santé mentale, explique Lisa. Mais j’avais toujours l’impression de ne pas avoir le temps de m’en occuper, coincée entre les examens et les gros projets scolaires. »

En pleine crise mondiale, Lisa, comme de nombreux autres élèves, a dû être particulièrement persévérante. Elle y est parvenue, notamment, grâce à sa mentore Passeport. Au secondaire, Lisa était trop occupée pour pouvoir réfléchir à son futur professionnel. Sa mentore a donc pris l’initiative d’organiser des rencontres avec des professionnels et l’a dirigée vers des ateliers sur les bourses d’études. C’est ainsi que Lisa a découvert qu’en cas de situation difficile, une bonne stratégie consiste à demander aux autres de prêter main forte. « Ma mentore Passeport m’a beaucoup aidée, se remémore Lisa. Lorsqu’elle m’a invitée à ces événements, j’ai vraiment pu établir des liens avec d’autres personnes. Je n’aurais pas été capable de faire ça toute seule avec tout le stress de l’école. »

À mesure que sa relation avec sa mentore Passeport se développait, Lisa a pu trouver de nouvelles manières de demander de l’aide et de parler de sa santé mentale. Ces conversations étaient d’abord compliquées. Mais une fois confortablement installée dans une relation individuelle et sûre avec sa mentore, Lisa a pu faire part de ses expériences et de nouvelles perspectives se sont ouvertes à elle. Lisa s’est sentie renforcée en pouvant compter sur une partenaire de confiance pour l’aider à traverser une période difficile. « J’ai fait plus attention à ma santé mentale. Je me suis efforcée de trouver un équilibre entre l’école et la vie privée, explique Lisa. C’est clairement un aspect sur lequel ma mentore a insisté. »

L’avenir semble encore incertain pour beaucoup, mais Lisa et ses camarades de classe ont une réalisation exceptionnelle à leur actif : ils ont obtenu leur diplôme d’études secondaires pendant une pandémie mondiale. Elle n’est pas prête d’oublier cette expérience qui, comme pour beaucoup d’élèves de sa promotion, a exigé un changement de perspective et une prise en charge de soi. « Quand je repense à ma 10e ou 11e année, je n’aurais jamais imaginé que les choses ressembleraient à ce qu’elles sont aujourd’hui. Ce que j’ai appris, c’est qu’il est vraiment important de continuer à trouver de nouvelles façons d’aborder les défis et de surmonter les obstacles. »

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Kashish

Passeport Rexdale

Kashish a intégré le programme Passeport en 9e année, quelques années après avoir immigré de l’Inde au Canada avec sa famille. Kashish se souvient que cette transition n’a pas toujours été facile.

Néanmoins, elle explique que Passeport lui a donné un fort sentiment d’appartenance.

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Aujourd’hui, elle travaille comme tutrice en mathématiques et en sciences à Passeport Rexdale. Elle est fière de pouvoir instiller ce sentiment d’appartenance qu’elle a ressenti. C’est elle qui, aujourd’hui, aide les élèves à se sentir soutenus dans ces moments difficiles.

Parlant du tutorat en temps de pandémie, Kashish relate l’histoire d’un rapprochement avec un élève autour d’un intérêt commun. Cette expérience a permis à l’élève de nouer des liens sociaux importants, ce qui est crucial pour maintenir la participation des élèves pendant les périodes d’isolement. « Il me rejoignait pour un tutorat virtuel tous les mardis de 16 h à 18 h, explique Kashish. Il restait là tout le temps imparti, même si son travail ne nécessitait qu’une heure. »

Passeport offre bien plus que le maintien du contact social. En encourageant la résilience des élèves grâce à une communauté soudée, le personnel de Passeport Rexdale s’attaque également à un autre défi majeur : la perte des acquis après une année de scolarité virtuelle. Kashish raconte qu’au début de l’année, les élèves avaient du mal à comprendre les concepts mathématiques de base. « Pendant la 9e année, les élèves en apprennent beaucoup sur [le concept mathématique des] pentes. Mais cette année, beaucoup d’entre eux ont complètement manqué ce sujet et se sont rendu compte qu’ils devaient rattraper leur retard pour pouvoir poursuivre leurs études. »

Pour relever ce défi, le personnel de Passeport, dont Kashish, a dû faire preuve de créativité. En misant sur le fort sentiment d’appartenance à la communauté de Passeport Rexdale, l’emplacement du programme a rapidement adapté sa programmation. Au lieu de se contenter d’offrir une aide quotidienne aux devoirs, ils ont également introduit des leçons spéciales hebdomadaires sans rendez-vous, axées sur l’enseignement de ces concepts fondamentaux aux élèves. Les élèves ont ainsi pu rattraper leur retard, indépendamment de leur niveau d’avancement dans l’année scolaire.

Grâce à cette approche, les élèves ont pu compter sur les relations de confiance qu’ils ont nouées à Passeport pour combler les lacunes dans leur savoir, et ce, dans un environnement sûr et solidaire. « Passeport a pris le temps de relever ce défi en faisant appel à des tuteurs pour assurer ces nouvelles séances, explique Kashish. Tous ensemble, nous nous efforçons de combler l’écart des connaissances qui s’est creusé pendant la pandémie. »

Lorsque Kashish réfléchit à son parcours avec Passeport, d’abord en tant qu’élève, et maintenant en tant que tutrice, il en ressort une leçon en particulier. Alors que les moments difficiles se succèdent, la communauté reste présente. « Que ce soit au secondaire, à l’université ou même après celle-ci, explique Kashish, Passeport aura toujours un rôle à jouer. »

Kashish a intégré le programme Passeport en 9e année, quelques années après avoir immigré de l’Inde au Canada avec sa famille. Kashish se souvient que cette transition n’a pas toujours été facile.

Néanmoins, elle explique que Passeport lui a donné un fort sentiment d’appartenance.

Aujourd’hui, elle travaille comme tutrice en mathématiques et en sciences à Passeport Rexdale. Elle est fière de pouvoir instiller ce sentiment d’appartenance qu’elle a ressenti. C’est elle qui, aujourd’hui, aide les élèves à se sentir soutenus dans ces moments difficiles.

Parlant du tutorat en temps de pandémie, Kashish relate l’histoire d’un rapprochement avec un élève autour d’un intérêt commun. Cette expérience a permis à l’élève de nouer des liens sociaux importants, ce qui est crucial pour maintenir la participation des élèves pendant les périodes d’isolement. « Il me rejoignait pour un tutorat virtuel tous les mardis de 16 h à 18 h, explique Kashish. Il restait là tout le temps imparti, même si son travail ne nécessitait qu’une heure. »

Passeport offre bien plus que le maintien du contact social. En encourageant la résilience des élèves grâce à une communauté soudée, le personnel de Passeport Rexdale s’attaque également à un autre défi majeur : la perte des acquis après une année de scolarité virtuelle. Kashish raconte qu’au début de l’année, les élèves avaient du mal à comprendre les concepts mathématiques de base. « Pendant la 9e année, les élèves en apprennent beaucoup sur [le concept mathématique des] pentes. Mais cette année, beaucoup d’entre eux ont complètement manqué ce sujet et se sont rendu compte qu’ils devaient rattraper leur retard pour pouvoir poursuivre leurs études. »

Pour relever ce défi, le personnel de Passeport, dont Kashish, a dû faire preuve de créativité. En misant sur le fort sentiment d’appartenance à la communauté de Passeport Rexdale, l’emplacement du programme a rapidement adapté sa programmation. Au lieu de se contenter d’offrir une aide quotidienne aux devoirs, ils ont également introduit des leçons spéciales hebdomadaires sans rendez-vous, axées sur l’enseignement de ces concepts fondamentaux aux élèves. Les élèves ont ainsi pu rattraper leur retard, indépendamment de leur niveau d’avancement dans l’année scolaire.

Grâce à cette approche, les élèves ont pu compter sur les relations de confiance qu’ils ont nouées à Passeport pour combler les lacunes dans leur savoir, et ce, dans un environnement sûr et solidaire. « Passeport a pris le temps de relever ce défi en faisant appel à des tuteurs pour assurer ces nouvelles séances, explique Kashish. Tous ensemble, nous nous efforçons de combler l’écart des connaissances qui s’est creusé pendant la pandémie. »

Lorsque Kashish réfléchit à son parcours avec Passeport, d’abord en tant qu’élève, et maintenant en tant que tutrice, il en ressort une leçon en particulier. Alors que les moments difficiles se succèdent, la communauté reste présente. « Que ce soit au secondaire, à l’université ou même après celle-ci, explique Kashish, Passeport aura toujours un rôle à jouer. »

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Kashish

Passeport Rexdale

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Nike

Passeport Scarborough Village

Nike a intégré le programme Passeport en 9e année. Durant cette période, il s’est découvert une passion pour le montage vidéo et a rencontré quelques-uns de ses principaux mentors. Ces derniers l’ont motivé à saisir de belles occasions, comme l’obtention d’une bourse d’études pluriannuelle et un emploi dans une société de montage vidéo très réputée. Comme l’explique Nike : « On ne sait jamais où cette relation va nous mener. »

En tant que jeune propriétaire de petite entreprise dans le domaine artistique, Nike était bien conscient qu’il lui fallait acquérir des compétences pratiques, comme savoir filmer, monter et choisir le matériel nécessaire. Il avait d’ailleurs lancé un club vidéo dans son école secondaire pour aider les autres élèves à perfectionner leurs compétences. Mais il s’est rapidement rendu compte que les projets entrepreneuriaux, même dans le domaine artistique, nécessitent également de nombreuses connaissances en planification financière. « Je pense que l’aspect artistique est probablement l’élément le plus modeste, explique Nike. Le côté financier joue un rôle énorme. Sans cette optique de culture financière, votre entreprise va en pâtir. »

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C’est un mentor de confiance à Passeport qui a parlé pour la première fois à Nike de la Bourse d’études TD pour le leadership communautaire, un prix prestigieux décerné aux élèves qui font preuve d’un leadership remarquable au sein de leur communauté. Bien qu’il se souvienne avoir été impressionné par le montant de la bourse, le mentor de Nike l’a encouragé à poser sa candidature après avoir remarqué qu’il s’efforçait d’aider d’autres élèves. La bourse comprend à la fois une aide financière et la possibilité d’acquérir à la TD une expérience professionnelle en alternance. Le mentor de Nike y a vu l’occasion idéale de compléter ses compétences créatives, tout en acquérant de précieuses connaissances dans le domaine des affaires. Quelques mois plus tard, Nike a obtenu la bourse d’études et s’est lancé dans son premier emploi à la TD. « Je pense que cela montre la puissance du mentorat et des personnes qui croient en vous », explique-t-il.

Dans le cadre de cette bourse, Nike a travaillé comme caissier de banque pendant un an. Il se souvient que cette expérience de premier plan dans le monde de la finance lui a permis de comprendre à quel point les bonnes décisions commerciales sont cruciales à la réussite d’un entrepreneur. « Cela m’a vraiment obligé à être à l’aise avec les chiffres et la comptabilité, remarque Nike. C’était un avantage non négligeable lorsqu’il m’a fallu déterminer quels comptes d’affaires utiliser pour mes propres projets. »

Grâce à cette culture financière acquise dans le cadre de son expérience professionnelle, Nike a fait croître son entreprise de diverses manières. Il a par exemple pu élargir sa clientèle et améliorer ses compétences créatives. Aujourd’hui, il continue de jongler entre un emploi à temps plein et divers projets entrepreneuriaux en tirant profit des compétences acquises grâce à la bourse. Et il est certain d’une chose : il n’aurait pas pu y arriver sans le soutien des mentors de confiance qu’il a rencontrés à Passeport et dans la communauté. « Que ce soit à Passeport ou au travail, constate Nike, j’ai appris que la vie est faite de contacts et de relations. » Il s’engage dorénavant à perfectionner son travail sans perdre de vue son objectif, qui est d’aider les autres à réaliser leurs rêves. « Lorsqu’on arrive à ce stade, explique Nike, on commence à réfléchir à la façon dont on peut aider plus de gens, comme quelqu’un d’autre nous a aidés. »

Nike a intégré le programme Passeport en 9e année. Durant cette période, il s’est découvert une passion pour le montage vidéo et a rencontré quelques-uns de ses principaux mentors. Ces derniers l’ont motivé à saisir de belles occasions, comme l’obtention d’une bourse d’études pluriannuelle et un emploi dans une société de montage vidéo très réputée. Comme l’explique Nike : « On ne sait jamais où cette relation va nous mener. »

En tant que jeune propriétaire de petite entreprise dans le domaine artistique, Nike était bien conscient qu’il lui fallait acquérir des compétences pratiques, comme savoir filmer, monter et choisir le matériel nécessaire. Il avait d’ailleurs lancé un club vidéo dans son école secondaire pour aider les autres élèves à perfectionner leurs compétences. Mais il s’est rapidement rendu compte que les projets entrepreneuriaux, même dans le domaine artistique, nécessitent également de nombreuses connaissances en planification financière. « Je pense que l’aspect artistique est probablement l’élément le plus modeste, explique Nike. Le côté financier joue un rôle énorme. Sans cette optique de culture financière, votre entreprise va en pâtir. »

C’est un mentor de confiance à Passeport qui a parlé pour la première fois à Nike de la Bourse d’études TD pour le leadership communautaire, un prix prestigieux décerné aux élèves qui font preuve d’un leadership remarquable au sein de leur communauté. Bien qu’il se souvienne avoir été impressionné par le montant de la bourse, le mentor de Nike l’a encouragé à poser sa candidature après avoir remarqué qu’il s’efforçait d’aider d’autres élèves. La bourse comprend à la fois une aide financière et la possibilité d’acquérir à la TD une expérience professionnelle en alternance. Le mentor de Nike y a vu l’occasion idéale de compléter ses compétences créatives, tout en acquérant de précieuses connaissances dans le domaine des affaires. Quelques mois plus tard, Nike a obtenu la bourse d’études et s’est lancé dans son premier emploi à la TD. « Je pense que cela montre la puissance du mentorat et des personnes qui croient en vous », explique-t-il.

Dans le cadre de cette bourse, Nike a travaillé comme caissier de banque pendant un an. Il se souvient que cette expérience de premier plan dans le monde de la finance lui a permis de comprendre à quel point les bonnes décisions commerciales sont cruciales à la réussite d’un entrepreneur. « Cela m’a vraiment obligé à être à l’aise avec les chiffres et la comptabilité, remarque Nike. C’était un avantage non négligeable lorsqu’il m’a fallu déterminer quels comptes d’affaires utiliser pour mes propres projets. »

Grâce à cette culture financière acquise dans le cadre de son expérience professionnelle, Nike a fait croître son entreprise de diverses manières. Il a par exemple pu élargir sa clientèle et améliorer ses compétences créatives. Aujourd’hui, il continue de jongler entre un emploi à temps plein et divers projets entrepreneuriaux en tirant profit des compétences acquises grâce à la bourse. Et il est certain d’une chose : il n’aurait pas pu y arriver sans le soutien des mentors de confiance qu’il a rencontrés à Passeport et dans la communauté. « Que ce soit à Passeport ou au travail, constate Nike, j’ai appris que la vie est faite de contacts et de relations. » Il s’engage dorénavant à perfectionner son travail sans perdre de vue son objectif, qui est d’aider les autres à réaliser leurs rêves. « Lorsqu’on arrive à ce stade, explique Nike, on commence à réfléchir à la façon dont on peut aider plus de gens, comme quelqu’un d’autre nous a aidés. »

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Korinne

Passeport Shawinigan

Korinne faisait partie de la première cohorte d’élèves inscrits au programme Passeport à Shawinigan, au Québec. La transition du primaire au secondaire a été difficile pour Korinne : elle était séparée de son groupe d’amis et peinait à nouer des liens avec les élèves de sa nouvelle école.

Dans le cadre du programme Passeport, Korinne a été jumelée à une mentore adulte qui l’a soutenue et à qui elle a pu parler de ses difficultés. « Je pouvais me confier à quelqu’un qui me comprenait vraiment et qui ne me jugeait pas. Je pouvais lui dire comment je me sentais et savoir que je n’étais pas seule. Elle a mis un baume sur tout ce que je vivais », affirme Korinne.

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Dans le cadre du programme, le soutien qu’elle a reçu de la part de sa mentore n’était qu’un avantage parmi tant d’autres. Au cours de ses dernières années du secondaire, elle a aussi pu profiter de l’aide d’un tuteur en mathématiques, ce qui a grandement contribué à sa réussite scolaire. Elle a suivi des cours avancés en mathématiques afin d’avoir accès à un plus grand choix de programmes postsecondaires, mais elle avait de la difficulté avec la matière. « Je me souviens d’avoir eu de très mauvaises notes en mathématiques. J’ai obtenu 40 % à un examen et je me suis réfugiée aux toilettes pour pleurer », explique Korinne.

Elle a apporté sa copie d’examen à son tuteur de Passeport, qui l’a aidée à comprendre les concepts et à renforcer sa confiance en elle. Par la suite, elle a commencé à assister à des séances de tutorat quatre fois par semaine. « Le fait de constater que j’étais capable de faire le travail et qu’en y mettant le temps nécessaire, j’arrivais à comprendre les problèmes était vraiment motivant. Cela change tout de se faire dire qu’on peut y arriver. Je m’estime vraiment chanceuse d’avoir eu accès à ça », reconnaît Korinne.

Le tutorat lui a permis de réussir son cours de mathématiques et d’obtenir son diplôme d’études secondaires. Korinne se souvient que son tuteur a assisté à sa remise de diplôme d’études secondaires et qu’il a célébré avec elle ses notes finales. « J’étais fière de moi parce que j’avais réussi. Tout le monde avait l’air tellement chic en toge verte et était si heureux avec son diplôme entre les mains; nous partagions un sentiment de communauté et de réussite. C’était vraiment un beau moment », se rappelle-t-elle.

Après avoir obtenu son diplôme d’études secondaires, Korinne s’est servie de sa bourse Passeport pour couvrir les frais supplémentaires de ses études au cégep de Trois-Rivières, au Québec, où elle a étudié les langues, dont l’espagnol, l’allemand, l’italien et l’anglais. À l’heure actuelle, elle poursuit ses études en enseignement du français langue seconde à l’Université de Montréal et travaille comme enseignante suppléante à la Commission scolaire de Montréal.

Korinne est toujours en contact avec ses tuteurs et ses mentors de Passeport Shawinigan et croit que tous les élèves devraient pouvoir profiter du soutien offert par Passeport. « Le secondaire est une période parfois chaotique, et le programme est un guide idéal pour éclairer les moments plus sombres. C’est vraiment réconfortant de savoir que quelqu’un est toujours là pour nous soutenir au besoin », affirme Korinne.

Korinne faisait partie de la première cohorte d’élèves inscrits au programme Passeport à Shawinigan, au Québec. La transition du primaire au secondaire a été difficile pour Korinne : elle était séparée de son groupe d’amis et peinait à nouer des liens avec les élèves de sa nouvelle école.

Dans le cadre du programme Passeport, Korinne a été jumelée à une mentore adulte qui l’a soutenue et à qui elle a pu parler de ses difficultés. « Je pouvais me confier à quelqu’un qui me comprenait vraiment et qui ne me jugeait pas. Je pouvais lui dire comment je me sentais et savoir que je n’étais pas seule. Elle a mis un baume sur tout ce que je vivais », affirme Korinne.

Dans le cadre du programme, le soutien qu’elle a reçu de la part de sa mentore n’était qu’un avantage parmi tant d’autres. Au cours de ses dernières années du secondaire, elle a aussi pu profiter de l’aide d’un tuteur en mathématiques, ce qui a grandement contribué à sa réussite scolaire. Elle a suivi des cours avancés en mathématiques afin d’avoir accès à un plus grand choix de programmes postsecondaires, mais elle avait de la difficulté avec la matière. « Je me souviens d’avoir eu de très mauvaises notes en mathématiques. J’ai obtenu 40 % à un examen et je me suis réfugiée aux toilettes pour pleurer », explique Korinne.

Elle a apporté sa copie d’examen à son tuteur de Passeport, qui l’a aidée à comprendre les concepts et à renforcer sa confiance en elle. Par la suite, elle a commencé à assister à des séances de tutorat quatre fois par semaine. « Le fait de constater que j’étais capable de faire le travail et qu’en y mettant le temps nécessaire, j’arrivais à comprendre les problèmes était vraiment motivant. Cela change tout de se faire dire qu’on peut y arriver. Je m’estime vraiment chanceuse d’avoir eu accès à ça », reconnaît Korinne.

Le tutorat lui a permis de réussir son cours de mathématiques et d’obtenir son diplôme d’études secondaires. Korinne se souvient que son tuteur a assisté à sa remise de diplôme d’études secondaires et qu’il a célébré avec elle ses notes finales. « J’étais fière de moi parce que j’avais réussi. Tout le monde avait l’air tellement chic en toge verte et était si heureux avec son diplôme entre les mains; nous partagions un sentiment de communauté et de réussite. C’était vraiment un beau moment », se rappelle-t-elle.

Après avoir obtenu son diplôme d’études secondaires, Korinne s’est servie de sa bourse Passeport pour couvrir les frais supplémentaires de ses études au cégep de Trois-Rivières, au Québec, où elle a étudié les langues, dont l’espagnol, l’allemand, l’italien et l’anglais. À l’heure actuelle, elle poursuit ses études en enseignement du français langue seconde à l’Université de Montréal et travaille comme enseignante suppléante à la Commission scolaire de Montréal.

Korinne est toujours en contact avec ses tuteurs et ses mentors de Passeport Shawinigan et croit que tous les élèves devraient pouvoir profiter du soutien offert par Passeport. « Le secondaire est une période parfois chaotique, et le programme est un guide idéal pour éclairer les moments plus sombres. C’est vraiment réconfortant de savoir que quelqu’un est toujours là pour nous soutenir au besoin », affirme Korinne.

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Korinne

Passeport Shawinigan